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LES HAUTS DES NOMENS

Les Hauts des Nomens.

La chaîne de montagnes appelée les Escarpements des Lèvenies se découpe à l’horizon, au sud des Hauts des Nomens, région ainsi nommée à cause des tribus de centaures Nomens agressifs qui considèrent les steppes orientales comme leur territoire. Les Escarpements sont constellés de ruines qui indiquent que cette partie des Terres volées devait être la plus civilisée. 

VARNHOLD

L1 La ferme du porcher

Cette structure a beau être récente, elle est de piètre construction. Ses planches à clin sont mal jointes et son toit s’affaisse de façon alarmante. Un enclos boueux s’étend derrière le cottage, à côté d’un abri. L’odeur de décomposition et de crasse qui émane de cette habitation est absolument horrifiante. 

L2 Ferme  ou Demeure personnelle.

- Demeure de l'elfe Varaera, conseillère de Maegar Varn

- Demeure de OddvarArronsson, Garde du corps de Maegar Varn

- Demeure de ThamirGrixx, Barde et compagnon de Maegar Varn

- Demeure du marchand Junos Tork

- Demeure du marchand Feren Das't 

- Demeure de Lander Lébéda (Fils de Dame Sarrona Lébéda, Dirigeante d'une maison noble majeure du Brévoy)

L3 La tannerie

Des bouffées de la puanteur âcre caractéristique d’une tannerie émanent de ce modeste bâtiment. Dans la cour, il y a un petit appentis devant la maison.

C’est ici que vivait et travaillait le tanneur du village. Sa maison et sa boutique sont remplies de peaux à divers stades de séchage et de raclage. Dehors, il y a un enclos où sont tendues trois peaux de cheval. (il s’agit en réalité de peau de centaure sans la partie humaine.) 

L7 Le terrain communal

Le centre du village est occupé par une pelouse avec quelques arbres et un pilori vide, ainsi qu’un puits creusé au sud. 

L8 La forge et Les écuries 

Ce bâtiment bas et long entoure en partie une cour clôturée. L’enseigne qui pend au-dessus de l’entrée de la grange représente un harnais de cheval et une enclume de forgeron. Même si le village est abandonné, il semble qu’il reste beaucoup de montures et de têtes de bétail piégées dans l’écurie et la cour. Une demi- douzaine de carcasses de chevaux décomposées et pillées par les corneilles qui continuent leur festin sont éparpillées dans la cour. 

L9 Le tailleur

Les fenêtres de ce modeste cottage bien entretenu sont garnies de rideaux qui pendent de guingois.

Ce bâtiment servait de maison et d’atelier au tailleur du village, comme en témoignent les rouleaux de tissu et les outils encore à l’intérieur. Les spriggans l’ont consciencieusement pillé. 

L10 Le potier

Contrairement aux portes des autres maisons, celle-ci a été enfoncée. La petite cour clôturée attenante est jonchée de restes brisés de nombreux pots et statuettes d’argile.

Voici la maison de la potière du village. Dans un nid de paille, vous avez trouvé un élégant assortiment de pichets et d’assiettes tournés à la main et incrustés de platine. Ce devait être le cadeau de mariage de la fille aînée du roi Noleski, au printemps prochain, comme indiqué sur une étiquette. L’assortiment vaut 300 po en raison de la qualité du travail. 

 

L11 La maison de "Willias Gunnarson"

On a creusé une maison au pied de cette colline. Sa lourde porte de chêne pend sur ses gonds.

Elle a été pillée, comme toutes les maisons au sud de la Kiravoy. Un manche de hache cassé repose encore sur la table.

Un livre déchiré en deux au niveau de la reliure est jeté non loin. Il est rempli aux trois-quarts d’une écriture manuscrite en scalde : c’est le journal du rôdeur ulfe Willas Gundarson. Il y raconte sa carrière de rôdeur dans la compagnie de Maégar Varn et plusieurs escarmouches entre les colons et une tribu de barbares centaures originaires des collines à l’est de Varnhold.

Dans le journal, il appelle cette tribu les Nomens.

La dernière entrée remonte à deux semaines et relate une mission d’exploration banale dans la passe de Varnhold.

Une page partiellement arrachée attire votre attention. Le haut de cette page est daté de deux mois auparavant et dit simplement : « ai trouvé bracelet à côté de la rivière. » Le reste a été arraché. La page suivante porte simplement une grande rune tracée au charbon que vous avez traduit comme un symbole ulfe archaïque destiné à repousser la malchance.

L12 Le cheval de mer "

L’auberge du village, un bâtiment à un étage, se tient juste au bord de la pelouse communale. Au-dessus de la porte, un écriteau représente un cavalier qui s’accroche à un cheval à la crinière verte, une queue de poisson dépassant de son arrière- main, lancé au grand galop.

Les murs de l’auberge sont peints d’un jaune vif que viennent rehausser des volets rouges. 

Elle est simple mais bien entretenue. Le rez-de-chaussée se compose d’une salle commune (où se trouvent encore des tables dressées avec des plats pourrissants), d’une cuisine, d’une salle de bains et de réserves, ainsi que d’une aile réservée à la famille Kolescu. L’étage comprend six chambres d’hôte.

c’est un mot gravé en commun à la hâte dans le bois de la porte : NOMENS. 

Le matériel de recherche du maestro est encore sur l'une des tables, dans l’angle. Il comprend plusieurs livres comme La Préhistoire iobarienne, Les Centaures du Casmaron central, L’Incroyable Héritage des Armées d’exploration taldoriennes et Les Secrets des Rashalka.

Parmi ces ouvrages, on trouve une ethnographie incomplète des tribus indigènes des plaines iobariennes.

On trouve, insérées dans le livre, de nombreuses esquisses au charbon d’un lourd bracelet de jade.

Des recherches dans les effets personnels de l’occupant de la première chambre, indiquent qu’il s’agit d’Ervil Pendrod. Parmi ses biens ordinaires, on trouve une petite bibliothèque d’ouvrages de référence. Ils ne semblent pas immédiatement liés à son travail en cours mais vous avez repéré un livre de géographie de Carmyn e’Brothasa, une chroniqueuse de la Troisième Armée d’exploration du Taldor, partie au nord. Le maestro Pendrod a marqué un passage et l’a recopié. Dans la marge, il y a une note manuscrite simple et pourtant étrange : « Vordakai... peut-être un dieu des centaures Nomens ?  

L13 L’église d’érastil

Cette petite église aux murs blanchis à la chaux et aux fenêtres à vitraux luit au soleil. L’arc symbole d’Érastil brille comme un phare au-dessus des portes. Derrière elle, il y a un petit presbytère bien entretenu et de l’autre côté, une petite colline qui abrite les prémices d’un petit cimetière. 

 

L’intérieur est juste meublé de bancs de bois et d’un humble autel. Les spriggans l’ont pillée de fond en comble. Le cimetière comprend quatorze stèles de bois. La dernière surplombe une tombe fraîchement creusée. La stèle dit « Andrisha la potière » et elle est datée d’il y a plusieurs semaines.

Le trésor. Les spriggans n’ont pas été vraiment efficaces quand ils ont pillé l’église. Vous avez découverte un tiroir caché dans l’autel. Il contient plusieurs parchemins. 

L14 Le tisserand

Les fenêtres de ce cottage sont tendues de rideaux gais. Des jouets d’enfant sont abandonnés dans la cour à l’avant. C’était la maison du tisserand de la colonie qui vivait là avec sa femme et leurs quatre enfants.

Un métier à tisser et de larges bobines de fil occupent ce bâtiment exigu.

Vous avez remarqué un chat calico à moitié mort de faim.

L15 La grange 

Cette gigantesque grange a une grande porte de chargement à l’avant et une plus petite sur le côté, attenante à un appentis. L’odeur puissante de l’orge et des autres grains émane des fentes entre les planches des murs. 

L 16 Le tailleur de gemme "George et Darren Fenris"

Les épais murs de bois de cette maison sont entaillés en plusieurs endroits et la lourde porte a été enfoncée. 

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